Published 2014-01-01
“…Cette théorie repose
sur trois faiblesses
de la théorie
de la sélection sexuelle : 1) Sélection stabilisante : la reconnaissance spécifique est plus générale
et parcimonieuse
que le choix
de partenaire sexuel dont le fitness ne peut pas
être évalué a priori ; 2) Tautologie : La compétition devrait
être limitée
au moins chez les espèces rencontrées à faible densités, comme nombre
de primates ;
et le potentiel
de monopolisation ne peut pas
être à la fois la cause
et l’effet
de la sélection sexuelle ; 3) Co-évolution : l’investissement reproducteur n’est pas plus grand chez les femelles
que chez les mâles parce
qu’il comprend aussi la phase
d’appariement souvent plus coûteuse chez les mâles : en fait, l’information génétique contenue
dans chaque embryon provient
d’un mâle
et d’une femelle en quantités à peu près égales. …”
Get full text
Article