Ov. Tristia 3.12: identity and generic crisis or a season in hell
La Tristia 3.12 d’ Ovid est un texte très novateur qui se distingue par son mélange générique et son abondance d’allusions à ses antécédents littéraires. Cependant, en partie parce que la critique littéraire sur la poésie exilique d’Ovide «reste l’une des dernières frontières de l’érudition classiqu...
Saved in:
Main Author: | |
---|---|
Format: | Article |
Language: | deu |
Published: |
Editura Academiei Române
2020-12-01
|
Series: | Revista de Istorie și Teorie Literară |
Subjects: | |
Online Access: | https://ritl.ro/pdf/2020/20_D_Garofeanu.pdf |
Tags: |
Add Tag
No Tags, Be the first to tag this record!
|
Summary: | La Tristia 3.12 d’ Ovid est un texte très novateur qui se distingue par son mélange générique et son abondance d’allusions à ses antécédents littéraires. Cependant, en partie parce que la critique littéraire sur la poésie exilique d’Ovide «reste l’une des dernières frontières de l’érudition classique» (Nagle 5), ce poème, malgré ses mérites indiscutables, a été largement négligé. Ainsi, bien que quelques chercheurs aient effectivement fourni une évaluation critique générale de Tr. 3.12, aucun commentaire détaillé et aucune analyse rigoureuse de sa relation avec les poèmes de printemps précédents, et en particulier avec les épigrammes grecques (hormis Cat. 46 et Horace 1.4, 4.7, 4.12, les poèmes de printemps précédents sont AP 10.1, 2 et éventuellement aussi AP 9.363 et 10.4) n’ont été entrepris. Cet article montrera comment Ovid, avec une ingéniosité remarquable, utilise la structure et (certains des) éléments conventionnels d’un poème de printemps pour écrire un poème sur son exil, une supplique poétique, en réalité, destinée à gagner la sympathie et le soutien des lecteurs à Rome, et ainsi, pour faciliter son rappel dans la capitale ou du moins le changement de son lieu de relégation. |
---|---|
ISSN: | 0034-8392 3061-4201 |