Présences des sanskritologues dans la presse roumaine de l’entre-deux-guerres
L’article présente brièvement les premières mentions de la culture sanskrite et indienne et des premières traductions de cette littérature au XIXe siècle, pour s’attarder ensuite sur l’évolution de cette direction dans la presse roumaine dans la première moitié du XXe siècle et notamment à l’époque...
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Format: | Article |
Language: | deu |
Published: |
Editura Academiei Române
2017-12-01
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Series: | Revista de Istorie și Teorie Literară |
Subjects: | |
Online Access: | https://ritl.ro/pdf/2017/23_I_Mihaila.pdf |
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Summary: | L’article présente brièvement les premières mentions de la culture sanskrite et indienne et des premières traductions de cette littérature au XIXe siècle, pour s’attarder ensuite sur l’évolution de cette direction dans la presse roumaine dans la première moitié du XXe siècle et notamment à l’époque de l’entre-deux-guerres, marquée par la personnalité dominante de Mircea Eliade. Quelques noms s’imposent par leurs contributions remarquables : pendant la première période, G. Coșbuc, dont les traductions seront reprises constamment à l’époque suivante, mais aussi Bonifaciu Florescu ou Aron Densuşianu et même Ioan Slavici. À partir des années 1920, la quantité d’informations présentes dans la presse demande une réduction de l’analyse à la réception de la littérature sanskrite, déjà très bien représentée chez nous par des noms comme celui du prêtre Irineu (Ioan) Mihălcescu, D. Nanu, Preda Bunescu, Nae Batzaria, mais aussi Emanoil Bucuța, Ion Marin Sadoveanu, Theofil Simenschy, Alexandru Graur. La contribution de Mircea Eliade fait l’objet d’une ample présentation. |
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ISSN: | 0034-8392 3061-4201 |